Valorex doublement récompensé pour les 25 ans d’Innov’SPACE

Valorex doublement récompensé pour les 25 ans d’Innov’SPACE

Qu’est ce qu’un Innov’SPACE ?

Depuis 1995, la distinction Innov’SPACE est une vitrine de l’innovation agricole qui met en avant le savoir-faire des entreprises pour les éleveurs. Elle est décernée dans le cadre du salon international du SPACE qui réuni chaque année plus de 100 000 visiteurs.

Un jury d’experts indépendants examinent de façon neutre et confidentielle les nouveautés proposées par les entreprises et déterminent les produits, les équipements ou les services qui apportent une réelle innovation. Les lauréats sont classés suivant leur degré d’intérêt pour l’éleveur ou l’utilisateur final : 1 étoile, 2 étoiles ou 3 étoiles pour les mentions spéciales.

2 récompenses pour Valorex cette année

Pour les 25 ans d’Innov’SPACE, Valorex reçoit cette année 2 prix pour ses innovations déposées par le passé. La première concerne Bleu-Blanc-Coeur, dans la catégorie ALIMENTATION ANIMALE entre 1995 et 1999.  

CRÉÉE PAR VALOREX, BLEU-BLANC-CŒUR EST DEVENUE LA DEMARCHE DE RÉFÉRENCE EN NUTRITION / SANTÉ AUPRÈS DES CONSOMMATEURS

Valorex dépose la marque Bleu-Blanc-Cœur en 1999, récompensée par un Innov’SPACE.

Spécialisée dans la mise en place de filières végétales et dans la cuisson de graines oléagineuses et protéagineuses, l’entreprise Valorex est née de l’idée qu’à respecter la nature et à mieux nourrir les animaux d’élevage, les Hommes se porteront mieux.
Partant de ce leitmotiv, elle organise une filière de production de graines de lin, dont la forte teneur en oméga-3 est valorisée en nutrition animale par un process de cuisson inédit qu’elle brevète. Après que des essais importants menés avec l’INRA (projet Valomega en 1997) aient démontré des effets positifs sur la santé animale et humaine, Valorex dépose la marque Bleu-Blanc-Coeur, destinée à valoriser auprès des consommateurs la composition lipidique des viandes, oeufs et lait issus d’animaux nourris au lin Valorex. En 1999, Valorex est fière de recevoir un Innov’SPACE qui félicite cette démarche totalement inédite et l’encourage à la développer. C’est le début d’une aventure humaine hors du commun et d’une véritable success story.

Émancipée de Valorex, Bleu-Blanc-Coeur a pris son envol pour devenir la seul démarche de référence en nutrition/santé.

Développée en association dans les années 2000, Bleu-Blanc-Cœur est d’abord un petit groupe de scientifiques, paysans et industriels qui croient en une agriculture à vocation santé. En 20 ans, avec le soutien financier et scientifique de Valorex, elle a démontré le bien fondé de sa démarche par 5 études cliniques et plus de 400 publications scientifiques. Totalement indépendante de Valorex désormais, l’association Bleu-Blanc-Cœur réunit 950 entreprises membres et confie sa gouvernance aux représentants élus de ses communautés : 7 000 paysans, 1 850 professionnels de santé, 600 chefs et représentants des métiers de bouche, 2 500 consommateurs, des scientifiques de haut niveau et le représentant du PDG de l’INRAe. Elle s’est imposée comme une démarche incontournable du paysage alimentaire français : Bleu-Blanc-Cœur représente par exemple 9 % de la production française de porcs, 5 % de la production française d’oeufs (soit 760 millions d’oeufs !) et 5 % du marché lait de consommation, yaourts et desserts lactés. Et ce n’est que le début : la marque collective, qui reçoit le soutien de l’État, est en progression constante depuis 20 ans. Elle gère désormais le premier signe de qualité en filières animale et est présente dans 12 pays et 4 continents.

La seconde pour l’indive DIVAL, dans la catégorie ALIMENTATION ANIMALE entre 2015 et 2019.  

DEVENU SOURCE D’INFORMATIONS POUR LES FILIÈRES, DIVAL A PARFAITEMENT INTÉGRÉ LE QUOTIDIEN DES ÉLEVEURS 

Créé par Valorex dans le but d’évaluer les pratiques alimentaires en élevage, l’indice Dival mesure la diversité nutritionnelle, l’autonomie protéique et l’acceptabilité sociétale (origine, impact environnemental et biodiversité) des ingrédients d’une ration. Sa finalité est d’aider les éleveurs à faire reconnaître leurs bonnes pratiques agricoles et alimentaires auprès des consommateurs et de valoriser économiquement leur démarche.

Plus d’un an après la création de l’indice, c’est un pari réussi pour Valorex qui a bénéficié de la crédibilité d’un Innov’SPACE. Dival est devenu un critère de ration au même titre que l’apport protéique, par exemple, au sein des élevages clients de Valorex.
Désormais, l’élaboration des recettes d’aliments pour animaux d’élevage intègre aussi des objectifs d’environnement, de santé des sols et des animaux, et plus seulement des critères techniques. En servant le lien agriculture – élevage – environnement et santé, Dival contribue à redonner aux agriculteurs la place qu’ils méritent dans notre société.
Par ailleurs, l’association Bleu-Blanc-Cœur, premier signe de qualité de France en élevage, a intégré l’indice Dival dans son cahier des charges, ouvrant la voie à une meilleure rémunération des produits issus d’un rationnement Dival. Il s’agit à présent de promouvoir cet indice à d’autres filières reconnues des consommateurs.

Valorex FOOD fait salon

Valorex FOOD fait salon

Une rentrée qui s’annonce riche en événements à ne pas manquer pour se rencontrer !

Valorex FOOD sera heureux de vous recevoir sur ses stands aux différents salons consacrés à l’agro-alimentaire !

Des rendez-vous immanquables pour vous présenter nos innovations :  

  • NATEXPO | Les 21 & 22 septembre, à Eurexpo Lyon – Stand F67
  • CFIA | Du 29 septembre au 1er octobre, au Parc Expo de Rennes – Hall 4 Stand B62
  • SALON RESTAU’CO | Le 13 octobre, à Paris, Porte de Versailles – Hall 5.1 Stand C33

Et pour en savoir plus sur nos activités, nos produits et leurs atouts, nous organisons en collaboration avec le Centre Culinaire Contemporain, une soirée spéciale autour de nos ingrédients, le mercredi 30 septembre au Centre Culinaire Contemporain à Rennes ! Cette soirée est gratuite, mais nécessite une inscription préalable. Faites-nous part de votre intérêt en cliquant sur ce lien.

 

Contactez-nous pour plus d’information et/ou pour prendre RDV : food@wordpress-766123-2597441.cloudwaysapps.com
One Health … Santé unique

One Health … Santé unique

De l’herbe de printemps à une étude clinique COVID-19 : une preuve de concept !

Courant 2020, une nouvelle étude clinique d’intervention devrait démarrer avec le CHU de Rennes pour des patients symptomatiques détectés positif au COVID-19 (1). Pendant 20 jours, il leur sera proposé de consommer des nutriments pour « guérir vite et revenir à l’état de santé avant infection ».  Des nutriments, pas des médicaments ? Ce sera alors une première mondiale.

La Covid-19 est une maladie qui peut provoquer la mort par un dérèglement des mécanismes de l’inflammation. L’inflammation est un composant clé des réactions de défense immunitaire. Pour lutter contre le virus agresseur, le corps mobilise des « messagers » pro-inflammatoires. C’est la phase de PROMOTION de l’inflammation. Puis, quand ces messagers de l’immunité ont fait leur travail, d’autres organisent le reflux, la RÉSOLUTION de l’inflammation. (2)

La description des voies de synthèse de ces messagers de l’inflammation a valu un prix Nobel en 1982 à leurs découvreurs (3). Quand on lit leurs travaux, on mesure leur étonnement (qu’ils ont pris au départ pour une erreur) : L’inflammation, notre première ligne de défense immunitaire innée est entièrement dépendante de molécules que l’on ne sait pas fabriquer : Les Oméga 6 pour sa PROMOTION et les Oméga 3 pour sa RÉSOLUTION.

Or, les précurseurs des Oméga 3 comme des Oméga 6 sont exclusivement végétaux. Les précurseurs des Oméga 3 sont surtout des composants des chloroplastes, les organes de la synthèse chlorophyllienne. Ils abondent donc au printemps dans les herbes et dans les algues. Les Oméga 6 sont, eux, des composants des réserves des graines. Ils abondent à l’automne.

Quand une poule mange de l’herbe ou du lin, son œuf contiendra beaucoup d’Oméga 3. Si elle se nourrit de maïs et de de soja, son œuf va au contraire contenir beaucoup d’Oméga 6. En France, nous consommons en moyenne 250 œufs par an… et leur qualité nutritionnelle dépend exclusivement de ce que mange la poule : Pro ou Anti Inflammation ? (4)

Si les poissons de notre assiette sont des carnivores de bout de chaîne océanique, ils ont mangé d’autres poissons, qui ont mangé des crevettes, qui ont mangé des algues…riches en Oméga 3, ils auront alors concentré dans leurs chairs, ces Oméga 3 des algues, allongés et déssaturés par les crevettes…  Mais si ces mêmes poissons sont nourris d’huiles végétales, de graines et de farines animales en aquaculture, leur composition ne sera plus la même. Et l’impact sur notre santé sera différent.

Le coronavirus à l’origine de la pandémie COVID 19 provoque une réaction inflammatoire dans les cellules pulmonaires. La PROMOTION (le flux) de l’inflammation se met logiquement en route et la guérison suit dans 85% des cas quand le virus est vaincu et l’inflammation « résolue ».

Mais parfois, l’inflammation ne reflue pas, elle s’emballe. On décrit des « Orages cytokiniques ». L’œdème envahit les tissus. Le patient, placé sous oxygène est en état de « SDRA » (Syndrome de Détresse Respiratoire Aiguë), mortel ensuite dans le tiers des cas.

Tuer le virus ou développer une immunité acquise via un vaccin, c’est du domaine de la pharmacologie. Maîtriser l’équilibre de l’inflammation ? A l’heure où j’écris ces lignes, l’arsenal pharmacologique n’a pas la réponse.

Elle sera compliquée à mettre au point. En effet, les enzymes qui élaborent les médiateurs de PROMOTION et de RESOLUTION sont les mêmes. C’est le substrat est différent : Oméga 6 pour la PROMOTION et Oméga 3 pour la RESOLUTION. Ils sont stockés dans les membranes de chacune de nos cellules.

Et la composition de ces membranes cellulaires en Oméga 6 et en Oméga 3 est 100% « assiette – dépendante »

Et la composition des aliments de l’assiette est 100% « alimentation des animaux et des végétaux – dépendante »

Et toutes les études de consommation en France (et partout où la « Western diet » est en place) révèlent depuis les années 80 un très large déficit en Oméga 3. 98% des Français ne consomment plus les apports nutritionnels recommandés par l’ANSES. Quand les poules et les vaches sont passées de l’herbe au maïs, quand les graines de soja ont remplacé les graines de lin, quand les monocultures de graines riches en Oméga 6 se sont mises en place, le déséquilibre s’est installé dans nos corps comme dans nos sols. (4). Les Oméga 6 sont assez abondants pour assurer la PROMOTION (le flux) de l’inflammation, mais la RÉSOLUTION (reflux) est très compromise.

En France, il y a 15 millions d’hectares de terres cultivées. Le blé et le maïs en occupent 60% à eux deux. Avec l’orge, le colza, les betteraves, les pommes de terre, le tournesol…. 7 plantes occupent plus de 90% des terres. A cela s’ajoute les 2 millions d’hectares de soja Brésiliens (Soja standard), Indiens (Soja sans OGM), ou Chinois (Soja Bio) nécessaires à nourrir nos animaux d’élevage.

Plus de 50.000 articles de la presse scientifique à comité de lecture décrivent le lien entre immunité, inflammation et nutrition (5). Une foule de données mécanistiques, épidémiologies et cliniques démontre le rôle des vitamines (A, B6, B9, B12, C, D), des oligo-éléments (Zn, Cu, Fe, Mg) et des Acides Gras polyinsaturés (AG PI) oméga-3 et oméga-6. (6)

Quand le sol est bien nourri, il est riche en matière organique (donc il « stocke » du Carbone et limite le réchauffement climatique) et en éléments minéraux. La vie microbienne intense permet alors à la plante de puiser les éléments nécessaires à son « immunité végétale » : Les oligo-éléments mobilisés par les microbes du sol, les vitamines, les AG PI (et notamment les Oméga 3 des chloroplastes), les anti-oxydants et les polyphénols synthétisés par la plante sont ses éléments de défense contre les agresseurs.

Les techniques de travail du sol, la pratique de cultures de couverture, les modes de fumure jouent un rôle essentiel dans la vie du sol. Mais plus que tout, la variété, la diversité de cultures dans le temps et dans l’espace participent à sa richesse organique. Difficile de penser que les terres de France avec 7 cultures seulement sur 91% des sols cultivés puissent fournir facilement à l’homme, quelques maillons plus loin tous les oligo-éléments, vitamines, acides gras dont la richesse et la diversité nourriront notre immunité, réguleront les équilibres subtils de l’oxydation et l’inflammation. Les racines de notre santé se nourrissent aussi d’un terreau fertile.

Plus de diversité c’est aussi plus de légumineuses (luzerne, lupin, féverole, sainfoin, trèfle..). Les légumineuses savent capter l’azote de l’air pour synthétiser leurs protéines, non seulement elles n’ont pas besoin d’engrais azoté (dont certaines formes d’apport minéral nuisent à la densité nutritionnelle des plantes), mais encore, elles laissent aux cultures suivantes un sol plus riche.

Plus de diversité, c’est aussi un élevage qui consomme ces légumineuses fourragères pour fabriquer les protéines animales de haute qualité biologique, un élevage qui nourrit aussi le sol (fumures). Contrairement à une idée bien répandue, il ne faut qu’un kg de protéine végétale consommable par l’homme pour fabriquer un kg de protéine animale (7). De plus quand les ruminants se nourrissent d’herbe, de luzerne et de lin, en substitution du régime dominant « maïs-soja », leurs émissions de méthane entérique (puissant gaz à effet de serre) sont réduites d’un tiers (8).

La diversité nourrit donc notre immunité, régule notre inflammation et nous fournit les antioxydants nécessaires. En deux pages, nous sommes passés de la réaction inflammatoire des pneumocytes infectés par un virus agressif aux sous-sols riches de vie microbienne, au stockage du carbone dans les sols et à la réduction des émissions de méthane entérique qui tous deux réduisent le réchauffement climatique et améliorent la santé des animaux.

La vie des sols, la santé des animaux participent à la construction et au maintien de nos mécanismes de l’immunité innée dont la réponse inflammatoire est le premier et indispensable facteur et dont les racines plongent dans nos sous-sols, nos auges, nos océans.

Depuis 2000, l’association Bleu-Blanc-Cœur et ses partenaires scientifiques ont construit les expérimentations nécessaires à la validation de chacune de ces étapes clés de la chaîne alimentaire. 20 ans et 380 publications scientifiques plus tard (9), la belle idée est devenue une réalité scientifique incontestable.

L’essai clinique évoqué dans les premières lignes apportera peut-être une ultime pierre à la construction scientifique qui sous-tend la démarche. Ce sera le 7ème essai clinique depuis l’étude fondatrice (10). Qu’il s’agisse de marqueurs de la santé cardiovasculaire, du diabète, de l’obésité, tous ont démontré, mesuré l’impact du mode de production sur notre santé, à régime identique (9).

Est-ce que ces preuves scientifiques seront suffisantes pour que nos modes de production agricoles et agro-alimentaires s’infléchissent vers une agriculture à vocation « santé et environnement » dont les effets sont mesurables ?   Certainement pas !

L’angoisse alimentaire, indissociable de notre nature omnivore (11) a été boostée par la disparition des traditions alimentaires, l’étirement des chaînes de production agricole et alimentaire et la distanciation villes-campagnes grandissante. L’efficace marketing alimentaire de la peur a nourri les promesses négatives du « sans » (Sans OGM, Sans pesticides, Sans viande, Sans Gluten, etc…). Y aura-t-il une place demain pour des aliments non plus « SANS » ou « VIDES » mais au contraire, riches de nutriments, PLEINS de diversité, de sens ?

Peut-être que la clé de notre santé collective, celle des hommes, mais aussi des plantes, des animaux, des sols de la planète dépend de l’acceptabilité des messages « One Health » construit autour de la promesse « Bon pour la terre, les plantes, les animaux et les hommes », des bénéfices largement mesurables (à la différence du marketing de la peur et du « sans »). L’acceptabilité de ce message n’est pas évidente. Sa construction doit faire appel aux sciences humaines. (12)

De cette acceptation dépend le « consentement du mangeur à payer (un peu plus cher) » dans une vraie logique de montée en gamme qui rompt avec la logique des signes officiels de qualité supérieure réservés à une élite versus la qualité inférieure destinées à la masse (Logique portée à son paroxysme par la loi EGALIM pour la restauration collective qui impose 20% de Bio et 30% de « Label Rouge » à budget constant des repas…)

Ce consentement à payer un peu plus cher (de 2% à 5% maxi) (13) pour son alimentation permettra de mettre en œuvre à grande échelle des pratiques agricoles et agro-alimentaires meilleures pour la santé de la planète et de ses habitants…

C’est un joli cercle vertueux dont les fondements sont posés par les sciences « dures » et qui ne se bouclera donc qu’avec l’apport des sciences « humaines » ! 

(1) Sous réserve évidemment du consentement de suffisamment de volontaires. Le protocole et sa justification scientifiques sont validés à l’heure de l’écriture de cet article.

(2) Les termes de PROMOTION et de RESOLUTION viennent de la littérature scientifique en Anglais. Pour la part, je trouve que les termes de FLUX et REFLUX conviennent bien à ces mécanismes.

(3) Bergström, Samuelsson et Vane : Prix Nobel de Médecine et de Physiologie 1982.

(4) Ailhaud et al 2006 : Prog Lipid Res.2006 : Temporal changes in dietary fats: role of n-6 polyunsaturated fatty acids in excessive adipose tissue development and relationship to obesity.

(5) Pubmed Nutrition et Inflammation –  Nutrition et Immunité

(6) Calder 2020 : Nutrients.2020 : Optimal Nutritional Status for a Well-Functioning Immune System Is an Important Factor to Protect against Viral Infections.

(7) Weill et al : Pratiques en nutrition n° 51 2017 : L’empreinte végétale de notre consommation de protéines animales en question

(8) C Martin : Dairy Sci. 2016 : Increasing linseed supply in dairy cow diets based on hay or corn silage: Effect on enteric methane emission, rumen microbial fermentation, and digestion.

(9) Bleu-Blanc-Cœur.com

(10) Weill et al: Ann Nutr Metab.2002 : Effects of introducing linseed in livestock diet on blood fatty acid composition of consumers of animal products.

(11) Fischler, « L’Homnivore »

(12) J Raude : Entre peurs et espoirs, comment se ressaisir de la science et la faire partager à nouveau ?

(13) Accords collectifs entre l’état Français et l’association Bleu-Blanc-Cœur : Engagements de surcoûts maxi : https://agriculture.gouv.fr/pna-signature-du-premier-accord-collectif

Informations importantes COVID-19

Informations importantes COVID-19

A l’attention de nos clients éleveurs :

En raison des restrictions en cours et pour assurer la sécurité de tous, votre technicien Valorex habituel n’est plus sur le terrain mais reste disponible sur son téléphone portable.

Vos commandes sont à lui passer DIRECTEMENT (par téléphone portable ou mail). Merci de ne plus contacter le service commande habituel.

A l’attention de nos clients fabricants d’aliments pour animaux :

Valorex met tout en oeuvre pour assurer vos commandes d’extrudés. Nous vous remercions de bien vouloir poursuivre vos échanges par mail avec vos interlocuteurs habituels.

A l’attention de nos clients de Vaizgantho, Valorex alimentation humaine :

Valorex met tout en oeuvre pour assurer vos commandes de farines de lin. Nous vous remercions de bien vouloir poursuivre vos échanges par mail avec vos interlocuteurs habituels.

Toutes les équipes de Valorex sont mobilisées, sur site ou à distance, pour assurer une continuité de notre activité et de nos échanges dans les meilleures conditions.

Merci à tous pour votre compréhension

Valorex, signataire de la charte Duralim

Valorex, signataire de la charte Duralim

Valorex, est signataire de la Charte Duralim depuis sa création en 2016.

Voici de manière résumée, nos 4 engagements, sur chacun des axes de la plateforme Duralim :

  • Diminuer l’emploi de tourteaux de soja importé en favorisant et encourageant la production de protéagineux français.
  • Référencer ses produits dans la filière Bleu-Blanc-Coeur, dont le mode d’alimentation permet une baisse des Emissions de Gaz à Effet de Serre (14 236 tonnes de CO2 non émis en 2019).
  • Organiser au niveau parcellaire la traçabilité de la production des oléo-protéagineux d’origine française, référencée en filière Bleu-Banc-Cœur.
  • Favoriser les productions et les approvisionnements de matières premières d’origine française.

Pour en savoir plus sur nos engagements et nos attentes, rendez-vous sur le site Duralim : https://ra.duralim.org/fiches/valorex/

 

Vous souhaitez en savoir plus sur la plateforme Duralim, cliquez sur la vidéo ci-dessous : 

Séminaire « One Health » – Juin / Juillet 2020

Séminaire « One Health » – Juin / Juillet 2020

Nous avons le plaisir de vous annoncer le maintien du symposium « One Health : santé de la Terre, des animaux et des hommes » proposé par l’Association Bleu-Blanc-Cœur en partenariat avec INRAE et Valorex.

Ce symposium de partage des connaissances scientifiques ne se tiendra pas à Paris comme initialement annoncé mais sera diffusé sur une plateforme digitale (accessible à tous gratuitement, sous réserve d’inscription).

Pour des raisons inhérentes à l’organisation de la retransmission, nous avons réaménagé le programme* en trois émissions de deux heures :

 Mardi 23 juin (10h – 12h) / « ONE HEALTH : la santé de la TERRE, de l’HOMME et de la PLANETE »

 Mardi 30 juin (10h – 12h) : « ONE HEALTH : la santé des PLANTES, des ANIMAUX et des HOMMES »

 Mardi 7 juillet (10h – 12h) : « ONE HEALTH : la santé des HOMMES, du CLIMAT et de notre CHAINE ALIMENTAIRE »

Les participants auront la possibilité de poser des questions aux intervenants au fil de l’eau via notre plateforme.

Une séquence dédiée de questions / réponses de 30 minutes sera organisée en fin de programme auprès de l’ensemble des intervenants de l’émission.

Lors de leur connexion, les participants auront le choix d’accéder à une version francophone, ou une version anglophone (traduite par des interprètes).

*programme sous réserve de modification

Inscriptions sur le site de Bleu-Blanc-Coeur