Les travaux de recherche menés par l’INRAE et VALOREX sur la prévention du lien entre la viande et le cancer du côlon ont été récompensés par l’attribution des Lauriers de l’INRAE

Les travaux de recherche menés par l’INRAE et VALOREX sur la prévention du lien entre la viande et le cancer du côlon ont été récompensés par l’attribution des Lauriers de l’INRAE

Les Lauriers de l’INRAE récompensent chaque année des parcours exceptionnels réalisés au sein de l’institut. Cette cérémonie honore la créativité et les compétences qui s’expriment dans les équipes de recherche de l’INRAE 

Depuis deux ans, Valorex mène une partie des travaux sur le lien entre le cancer du côlon et la consommation de viande rouge avec l’équipe de recherche Prévention et Promotion de la Cancérogénèse par les Aliments (PPCA) de l’UMR Toxicologie alimentaire (Toxalim) du centre INRAE Occitanie-Toulouse, dirigée par Fabrice PIERRE et Françoise GUERAUD. 

Mardi 8 décembre 2020, ces travaux et plus particulièrement la mise en place d’une stratégie de prévention du cancer du côlon dès l’amont agricole ont été salués par l’équipe lauréate INRAE PPCA lors de sa distinction du laurier collectif INRAE « Impact de la recherche 2020 ». En effet, ces recherches offrent des ouvertures intéressantes pour la santé comme pour la filière viande. Valorex est la seule entreprise du secteur privé spécialisée dans la nutrition animale et humaine à financer des travaux de recherche collaboratifs auprès de l’INRAE, dans le but d’apporter des bénéfices aux consommateurs.  

Les travaux de recherche sur la prévention du lien entre la viande et le cancer du côlon mettent en lumière l’impact de l’alimentation animale riche en Oméga-3 et antioxydants sur la composition en lipide des viandes afin de répondre aux besoins nutritionnels humainsCette alimentation animale distinctive diminue les risques de cancer colorectal et améliore la valeur santé de la viande rouge.  

Ces travaux ont d’autant plus de sens que plus de 43000 nouveaux cas de cancer du côlon sont diagnostiqués chaque année en France, et il s’agit du deuxième cancer le plus meurtrier. Il faut rappeler que s’il est diagnostiqué tôt, le cancer colorectal se guérit 9 sur 10, il est donc important de se faire dépister à ses 50 ansPlus d’informations ici : https://www.ameli.fr/llle-et-vilaine/assure/sante/themes/cancer-colorectal/depistage-gratuit-50-74-ans  

Pour en connaître davantage sur les Lauriers INRAE, rendez-vous ici : http://lauriers2020.inrae.fr/.palmares/#page=1 

Valorex et ses Partenaires en France, pionniers de l’autonomie protéique

Valorex et ses Partenaires en France, pionniers de l’autonomie protéique

Valorex met en place des cultures spécifiques dans les différentes régions françaises de manière à renforcer l’autonomie protéique nationale. Présentation de la démarche et des nos partenaires.

Valorex et ses Partenaires en France, pionnier de l’autonomie proteique

Valorex prône le développement des protéagineux en nutrition animale.

L’idée est de cultiver dans les différentes régions les protéines les plus rentables selon le terroir et le climat ( féveroles, pois, lupin, soja, colza).

La valorisation par les procédés de traitements thermiques permet de booster la digestibilité de ces graines pour les bovins, volailles, et porcs.

Par ce biais, les animaux consomment des protéines locales, non OGM, non issues de la déforestation, porteuses de sens et de valeurs ajoutés pour l’agriculture française.

Retrouvez nos actualités sur le GIE SVP ainsi que le témoignage des éleveurs du Gaec de Tertre Goutte, qui ont intégré des noyaux de féverole cuits dans l’alimentation de leurs vaches. 

Retour sur les Rencontres du groupement d’intérêt scientifique Nutritions-Alimentation-Métabolisme-Santé

Retour sur les Rencontres du groupement d’intérêt scientifique Nutritions-Alimentation-Métabolisme-Santé

Le 13 novembre 2020 ont eu lieu les 6èmes rencontres NAMS, dont le thème portait sur la compréhension des comportements alimentaires. La webconférence, animée par Philippe Legrand d’Agrocampus-INSERM, a été coorganisée par Valorex, Lactalis, Sodiaal, l’Institut NuMeCan et Biotech Santé Bretagne.

Trois spécialistes ont exposé leur avis sur le sujet : Claude Fischler, Sociologue et Directeur de recherche au CNRS, Emmanuelle Pignède, Directrice des Etudes Internationales chez Lactalis et Ronan Thibault, médecin nutritionniste au CHU de Rennes.

Claude Fischler : sa vision sociologique

Selon Claude Fischler, même si manger est la fonction biologique première, le comportement alimentaire est avant tout social. Il peut être déterminé par des états internes de l’organisme mais l’est aussi par les autres et par les normes sociales qu’ils nous imposent. En France, les horaires de prises de repas sont cadrés, par exemple : à 13h10, 54% des français mangent. De plus, l’évolution de l’humanité s’est faite autour de la collecte de ressources alimentaires puis par leur distribution et leur partage. La notion collective est donc déjà encrée depuis bien longtemps… et elle est universelle : manger seul dans la plupart des cultures est stigmatisé, ce serait gage de mauvaises idées ou de non-partage.  Même si certains pays comme les Etats-Unis ou la Grande Bretagne et même la France deviennent de plus en plus individualistes, il ne faut pas perdre de vue que l’acte alimentaire répond à des interactions sociales et que les dimensions psychologiques y ont une place importante.

Emmanuelle Pignède : sa vision industrielle

Pour Emmanuelle Pignède, le fait de comprendre les comportements alimentaires des consommateurs est aujourd’hui primordial. En effet, les industries font face à une grande concurrence de marques dans les supermarchés et les consommateurs sont de plus en plus informés et exigeants (notamment grâce aux applications type Yuka). Pour qu’un produit soit acheté, il faut que le consommateur y voie un bénéfice pour lui. Pour comprendre ces comportements, Lactalis mène des enquêtes qualitatives et quantitatives avec l’aide des nouvelles technologies pour gagner en précision comme les neurosciences et l’intelligence artificielle. Avec ces études, les motivations, besoins et freins des consommateurs émergent et les tendances se dessinent. Manger des produits sains, consommer responsable (local et de saison) et se faire plaisir constituent les grandes tendances d’aujourd’hui.     

Ronan Thibault : sa vision clinique  

Pour clore ce débat, Ronan Thibault a apporté sa vision médicale. Il a d’abord souligné les efforts faits par les industries sur la composition de leurs produits et notamment la plus faible teneur en sel et en sucre.

Toutefois, selon lui, les personnes atteintes de troubles du comportement alimentaire (TCA) sont souvent dans le déni. Pourtant, ces TCA peuvent aboutir à de graves pathologies telles que la dénutrition (environ 3 millions de personnes en France) et l’obésité morbide. Ils se traduisent par une perte de contrôle, des troubles anxio-dépressifs, une mauvaise image corporelle, des troubles digestifs. Une conduite alimentaire anormale entraînera des conséquences néfastes sur la santé physique et une forte souffrance psychologique. Il existe plusieurs types de TCA comme l’anorexie mentale (dénutrition), la boulimie (purge, vomissements) ou l’hyperphagie boulimique (obésité, surpoids). Malgré un grand nombre de personnes touchées, Ronan Thibault regrette un sous-diagnostic de ces pathologies, qui nécessiteraient d’être prises en charge dans des unités dédiées sur le plan psychiatrique et nutritionnel.

Merci d’avoir été aussi nombreux pour cette édition particulière et rendez-vous en automne 2021 pour les prochaines rencontres 😉

Nouveau sur le site Internet : notre page « Carrières » !

Nouveau sur le site Internet : notre page « Carrières » !

Nouveau sur le site Internet : notre page « Carrières » !

Valorex est fier de vous annoncer la sortie de sa page nouvelle Carrières ! Disponible via ce lien, vous y découvrirez toutes nos offres d’emplois pour nos différents métiers : Recherche et Innovation, Développement, industrie ou métiers supports. Que vous recherchiez un CDI, un CDD, un stage ou encore un apprentissage, vous devriez trouver votre bonheur ! Et si aucune offre ne vous correspond, vous pouvez toujours nous déposer votre candidature spontanée, notre équipe en charge des Richesses Humaines se fera un plaisir de l’étudier. Sinon, nous mettrons cette page régulièrement à jour donc restez en veille. 😉

En plus de nos offres d’emplois, vous pourrez également trouver les témoignages vidéo de nos collaborateurs, afin de vous immerger dans l’univers de Valorex, et de mieux comprendre les différents secteurs et parcours de nos équipes.

Faire le choix de rejoindre Valorex c’est adhérer aux valeurs qui ont façonné notre groupe depuis plus de 25 ans. Nos richesses, ce sont nos 150 collaborateurs engagés pour mieux nourrir les animaux, respecter la nature afin que les Hommes mangent mieux, vivent mieux. C’est une démarche de Santé Publique.

Alors, partant.e pour rejoindre l’aventure ? Nous n’attendons que vous !

Retour sur l’Open de Golf Valorex / Bleu-Blanc-Cœur

Retour sur l’Open de Golf Valorex / Bleu-Blanc-Cœur

Cette année, dans le but de continuer à soutenir la vie associative locale, Valorex a décidé de sponsoriser une compétition au Golf du Château du Bois Guy, situé à Parigné et inauguré en 2018.

Le dimanche 11 octobre 2020, le groupe Valorex a co-organisé et sponsorisé une compétition de golf au Château du Bois Guy : l’Open Valorex – Bleu Blanc Cœur !

L’objectif était multiple : participer activement à la vie économique du Pays de Fougères, promouvoir les entreprises (Valorex, le Ciel de Rennes) et les partenaires historiques (l’Association Bleu-Blanc-Cœur) du Groupe Valorex, et organiser un moment fédérateur pour les salariés de l’entreprise.

En effet, parallèlement à cette compétition, la direction de Valorex a convié ses salariés et leurs familles à un cours d’initiation au golf de deux heures, exercé par un professionnel : bonne humeur et partage étaient au rendez-vous sur le green, et de nouveaux talents se sont dévoilés pour certains !

A la suite de cette initiation, les résultats de l’Open Valorex – Bleu Blanc Cœur ouvert aux licenciés ont été annoncés, et une belle remise de lots a été effectuée. Ainsi, les gagnants de la compétition ont reçu des cartes cadeaux pour des soirées gastronomiques et/ou déjeuners au Ciel de Rennes ou bien encore des paniers garnis de produits Bleu-Blanc-Cœur. La journée s’est achevée autour d’un cocktail convivial.

Un grand merci à l’association sportive Fougères golf ainsi qu’aux salariés Valorex et leurs familles d’avoir joué le jeu !

Pour ne louper aucun événement du Golf du Bois Guy, n’hésitez pas à les suivre sur leur page Facebook : https://www.facebook.com/fougeresgolf/

Union de 3 acteurs bretons de la nutrition animale pour réduire la dépendance aux protéines importées

Union de 3 acteurs bretons de la nutrition animale pour réduire la dépendance aux protéines importées

Valorex , Eureden et Tromelin Nutrition s’unissent et créent un GIE (Groupement d’Intérêt Economique) pour réduire la dépendance du secteur agricole aux importations de soja.

 

Ce jeudi, à Plouvéventer (29), se réunissaient 3 acteurs majeurs de la nutrition animale en Bretagne, Valorex, Eureden et Tromelin Nutrition pour présenter à la presse leur union au sein du GIE SVP (Service de Valorisation des Protéines) créé le 31 mars 2019. Un accord de partenariat tripartite a été signé le 16 juin dernier mettant le groupement en ordre de marche.

Objectifs de cette union : gagner en autonomie protéique, réduire la dépendance au tourteau de soja et éviter la déforestation importée en construisant une filière de production végétale riche en protéines qui soit rentable et dont le modèle pourrait être dupliqué à l’échelle nationale.

Pour ce faire, il faudra passer par l’amélioration des rendements et le développement des cultures de protéagineux en Bretagne. Actuellement, les légumineuses à graines (féverole, pois, lupin, soja) occupent 0,6 % de la surface agricole bretonne alors que les céréales en couvrent près de 30 %.

Pour parvenir à un tel résultat, le GIE va disposer d’une « formidable capacité d’innovation », a expliqué Stéphane Deleau, directeur général de Valorex, , lors de la conférence de presse. « Il s’agit d’une stratégie complètement inédite », s’est-il félicité. « Il y a une alternative à des achats de soja étranger », a souligné Henri Tromelin, directeur général de Tromelin Nutrition.

La France dépend actuellement à près de 45 % des importations de protéines végétales pour nourrir ses animaux d’élevage, une dépendance que les producteurs d’oléoprotéagineux aimeraient voir descendre à 35 %, avec l’aide du nouveau plan protéines inscrit dans le volet agricole du plan de relance du gouvernement pour un montant de 100 millions d’euros.

En Bretagne, cette dépendance atteint près de 95 %, selon l’établissement public France AgriMer. Elle repose essentiellement sur l’importation de soja provenant d’Amérique du Sud, notamment du Brésil et de l’Argentine.